Half-hour comedy TV  |  Émission de comédie
A broke and depressed young woman is roped into the dying singing telegram business and must spend her days singing happy birthdays and speedy recoveries to all sorts of characters around town. 
Status: In development 
Une jeune femme déprimée et sans le sou se retrouve enfiouapée dans l'industrie mourante des télégrammes chantés, et doit passer ses jours à chanter des joyeux anniversaires et prompts rétablissements à toutes sortes d'énergumènes. 
Statut: En développement
If you are of my generation, you’ve probably never been on the receiving end of a singing telegram. You may not even know what a singing telegram is. Let me recount the experience. 
It’s your birthday, your engagement, or perhaps you are recovering from a long illness. Congratulations are in order! And instead of sending flowers or a card, your favourite aunt has ordered you a singing telegram. A singer, dressed in a bellboy uniform, holding a flower or balloon, is sent to your house to deliver a message in the form of a song. Happy birthday! Get well soon!
First introduced in the thirties, this quirky method of communication wasn’t all the rage for very long, if at all. So it of course had to make a comeback in the seminal decade of tackiness, the eighties. And that’s when our story starts. 
Marguerite is twenty-two, and enduring the worst week of her life. Her boyfriend just dumped her for her sister, the ski shop she was working at has gone bankrupt and she is forced to move back in with her parents.
For her best friend Léonie, it’s the opposite: she's "in a great place right now". It must be said that her positivism often borders delusion. But she's just started a new job, and is determined to rope Marguerite in with her to cheer her up. 
Convincing her all she needs is to be herself at the interview, Anne-Marie avoids saying too much about the nature of the job and drags her with no explanation in the back-store of a grimy flower shop. This is where Angelico’s, the one and only singing telegram company in Montréal, has set up its headquarters. 
Trapped in an ambush typical of her best friend, the timid Carolyne is forced to sing for bosses Rosie and Danny, who despite her lack of musical experience, are charmed and hire her on the spot. 
It's the start of a great adventure for the two friends, who during the season will roam the city to croon tunes to a slew of eccentric characters. Their journeys never free of ridiculous obstacles, they will also lead to many happy accidents. Because through their misadventures, they will discover a Montreal more curious and diverse than they ever could've imagined, and will meet all sorts of people - some they will fall in love with, others who will fall in love with them. And when there is heartbreak, love songs get harder to sing. But between Happy Engagement and It's A Boy!, their most important discoveries will be those regarding themselves and their own identities. 
Recurring characters will be introduced throughout the episodes. The bosses: Rosie, the rigid manager, her husband Danny, the musical director, and his brother Gus, the receptionist. Angelico's other employees: Prince, natural-born performer with a great heart and terrible judgement, Muriel, voice of a princess, face of a witch. The suitors: the donut delivery guy who offers Anne-Marie lifts to her gigs on his scooter. The seductive undertaker. Because who finds themselves in old people's homes and the intensive care unit as often as Carolyne? The man from the morgue, a mysterious gentleman always dressed in black whose honorable mission is to gather the bodies of those the telegrams weren't able to save. Their 
And of course, there are the clients. The good, the bad and the ugly. The lonely ones; the criminals; the famous ones; those who order telegrams to flirt with girls; those who do it because they are lonely; the recent amputee who receives a "Get well soon!" song; the woman whose wedding was called off. Comedic opportunities that are also profoundly human. Because at the end of the day, that's what singing telegrams are all about. 
Si vous êtes de ma génération, vous n’avez sûrement jamais été récipiendaire d’un télégramme chanté. Vous n’en avez peut-être jamais entendu parler. Je vous raconte l’expérience.
C’est votre anniversaire, vos fiançailles, ou peut-être vous remettez-vous d’une longue convalescence. Les félicitations sont de mise! Et plutôt que de vous envoyer une carte ou un bouquet de fleurs, votre tante favorite vous a commandé un télégramme chanté. Un chanteur ou une chanteuse, dans un uniforme de type Spirou, muni d’un rose ou d’un ballon, est envoyé chez vous afin de vous livrer un message sous forme d’une chanson. Joyeux anniversaire! Prompt rétablissement!
D’abord introduit dans années 30, ce mode de communication ludique et inusité n’a pas fait fureur bien longtemps, voire jamais vraiment. Il fallait donc évidemment qu’il fasse un retour choc dans la décennie phare des tendances quétaines: les années 80. Et c’est là que notre histoire commence.
Nous sommes en 1983. MARGUERITE et LÉONIE (25 ans) sont employées chez Angelico’s, la seule compagnie de télégrammes chantés à Montréal.  Les deux charmantes meilleures amies passent leurs journées à chanter des Prompts rétablissement!, Heureuses Fiançailles à toutes sortes d’énergumènes à travers la ville. Mais derrière leurs sourires et leurs mélodies, elles cachent un secret. C’est que Marguerite et Léonie sont en crise de la vingtaine (communément appelée quarter-life-crisis), et elles en ont marre de chanter des comptines à des inconnus. 25 ans, c’est l’année où elles vont réaliser leurs rêves. C’est la promesse qu’elles se font au premier épisode. 
MARGUERITE, elle, rêve d’être une star. Broadway, Hollywood: elle ambitionne en grand. Mais ça, personne le sait, où presque. Elle a honte de son rêve, sa famille en a toujours ri. Et elle a du talent, mais ce qui lui manque, c’est de la chance. C’est la reine des bad luck, des rendez-vous manqués. Elle a le don de dire la mauvaise affaire au mauvais moment. Bon, les télégrammes, c’est pas sa job de rêve… mais ça lui permet de performer devant “public” et c’est mieux que rien. Elle va bien finir par tomber sur quelqu’un qui va reconnaître son talent et faire d’elle une superstar! En tout cas ce dont elle se convainc chaque matin... 
LÉONIE, elle, rêve de trouver le grand amour. Son chum l’a laissée, et elle est en quête de trouver sa perle rare. Et c’est pas le choix qui manque, mais le problème c’est que Léonie pense toujours qu’elle peut faire mieux. Plus beau, plus grand, plus fin. Elle veut quelqu’un d’excitant, pas son voisin qui est en amour avec elle depuis dix ans. Les télégrammes, ça lui permet de sortir de son cercle, de rencontrer des candidats inattendus. Peut être riche, ou même célibataires, pour faire changement...  
Donc dans leur quête de succès et d’amour, les filles choisissent de rester chez Angelico’s, en espérant que leur client d’aujourd’hui va être celui ou celle qui va changer leur vie. Chaque épisode suit les mésaventures de la malchanceuse Marguerite qui cherche la gloire, et de la fougueuse Léonie qui cherche l’amour. On est dans des épisodes SEMIS-BOUCLÉS, un peu de type Sex and the City ou GIRLS. Les télégrammes chantés sont au centre de l’histoire mais le sujet des épisodes c’est surtout les vies personnelles des filles. Les télégrammes sont là pour contraster, exacerber ou renforcer ce que les personnages vivent. 
Je vous donne l’exemple d’un épisode où les filles se retrouvent à chanter dans une maison de personnes âgées. Léonie commence à considérer dater des hommes plus vieux. Genre vieux. Marguerite, elle, est bouleversée par une célébrité hasbeen qui a sombré dans l’oubli, et a peur d’être destinée au même sort. Il y a des thèmes aux épisodes, par exemple la vieillesse, qui sont reliés d’une manière ou d’une autre à leur quarter-life-crisis. 
C’est une série qui explore l’ambition, les rêves, les déceptions, les changements de cap, et comment garder le sourire quand vient le temps de vous chanter joyeux anniversaire. 
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